jeudi 18 décembre 2008

exténuée
p. 222
tout peut encore commencer

effrénée

depuis le matin courbatu
la lumière mordante qui traverse les ruelles d'Aix jusqu'à la peau

retour au radar
la vie me tire du sommeil

le corps m'y renvoie

3 commentaires:

Anonyme a dit…

p222?

Anonyme a dit…

c'est vraiment beau ce
p222
là, comme ça...
vraiment

Anonyme a dit…

dans la frénésie de lecture... les pages s'envolent