samedi 16 février 2008

J'y repense.
Mais pas vraiment le temps de digérer, déjà que voler une heure d'un jour pour danser c'est. C'est pas évident. Alors écrire...!

Et puis chaque jour tant.
Il faudrait déjà que je puisse contempler ces salves d'événements émotifs à bout de bras.
Qu'il y ait cet homme de mes premières amours qui squatte dans le salon, perdu mais moins qu'alors, en suspension entre deux vies, celle du sud et celle d'ici,
...

Qu'il y ait des sommeils licencieux où les rêves sont teintés d'étranges fantasmes de tous jeunes hommes et de vieux séducteurs.

Qu'il y ait la première petite dans cette famille prompte aux cancans comme toutes (toutes ?!) les familles - épuisée pour elle, la toute petite dormant au beau milieu des fées plus ou moins
bien intentionnées du monde futile où elle s'amène. Enfin : plus ou moins à l'aise dans ce monde, les fées elles-même, je devrais dire.

Notre porte où toquent les plus ou moins potes parce qu'on y est bien dans ce havre. Depuis quand on n'a pas été seules ?

Alors moi-même : de passage
une rame sur des rails
qui se croisent

un écheveau

Aucun commentaire: