Je suis fâchée, non : peinée, que celle avec qui j'ai partagé à deux reprises le quotidien, que j'ai accompagnée dans des moments, pas n'importe lesquels, et qui m'a accompagnée aussi
ne trouve rien d'autre à me dire, au téléphone
que : machine m'a rapporté que, et j'en ai marre.
outre le petit mail pour rétablir les faits
je me dis que quand même, vu la période que je traverse
elle aurait pu me dire autre chose
elle aurait aussi pu prendre l'initiative de m'appeler
elle aurait pu se préoccuper de moi, en somme
- rien de plus, car je respecte ce qu'elle vit en ce moment, sur la sphère diamétralement opposée.
Et même : je suis triste de ne pouvoir m'en réjouir davantage, partager ce bonheur-là
(je ne peux pas, alors qu'avec la danseuse je peux
mais l'une est ma sœur, et l'autre mon éclaireuse.)
en tout cas, c'est dommage.
ça ne gâchera probablement pas l'essentiel, mais quand même.
il faudra que je trouve la façon de lui dire
sans que nous n'entrions en palabres infinis
malheureusement, j'ai bien peur qu'il n'y ait pas d'alternatives
vu l'excès de paroles dans lequel nous versons de plus en plus.
pas garder ça sur le cœur pourtant.
y réfléchir.
lundi 7 septembre 2009
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2 commentaires:
toujours désagréables... ces moments là... tellement bon d'être là pour l'autre quand on sent que c'est juste le moment où il en a besoin, cette alchimie de l'amitié, et vice-versa...
voilà, tant pis. Ce sera pour plus tard. Toujours peur de perdre ses amis quand le cœur est fragile. Mais je ne la perdrai pas.
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